« Tu t'es allumé, bébé ? Avec tous ces mecs sales prêts à baiser vos trous ici même dans ce camion ? Hein?" Les yeux de Ted brûlaient dans ceux de Carmen alors que Max continuait à la coincer au cou, continuait à appuyer sur son cul le plus exposé avec sa bite dure.
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Fixant les yeux de feu de son amant, elle sourit.

Quand ils s'étaient rencontrés, elle lui avait dit ce qu'elle voulait. Il avait d'abord hésité. Il n'avait pas toujours été le type dominant qui s'amusait à objectiver sa femme. Et il n'avait certainement pas été du genre à vouloir passer la femme qu'il aimait. Mais elle savait qu'il y avait du potentiel. Il y avait juste eu quelque chose à propos de lui. Il aimait lui plaire. C'était la ligne de fond pour l'escorte parisienne https://en.devozki.com/escorts/france/paris.

Clay embrassait l'arrière de ses jambes. Il commença par ses fesses, effleurant légèrement ses joues avec ses lèvres, faisant courir sa langue, vers le bas, le long de l'arrière de ses cuisses, embrassant, effleurant légèrement, s'arrêtant pour s'attarder à l'arrière de ses genoux. Ses genoux faillirent fléchir comme il le faisait. Et Lou, Lou était sur le côté, et soudain il avait une poignée de ses cheveux succulents fermement enroulés autour de ses jointures. Il embrassait son visage.

"Votre homme est un gars chanceux", a déclaré Lou, se penchant pour lui chuchoter à l'oreille, la regarder dans les yeux. "Je rêve de tomber sur une fille comme toi un jour." Il a souri. Ils maintinrent un instant un contact visuel. Son sourire était sournois, mais sincère. Ted a continué à regarder depuis la ligne de touche, sa bite dure sortant toujours de la section déboutonnée de sa combinaison. Il ne se caressait pas ou quoi que ce soit. Il se tenait juste là, dur, les mains sur le côté, regardant.

Max a alors reculé et lui a giflé le cul, durement. Elle est restée penchée sur le capot pour que tout le monde puisse la voir.

Elle ne savait pas comment Ted avait fait, mais elle était attirée par chacun d'eux. Et ils avaient été informés de ce qu'elle faisait. Elle pouvait le dire.

« Lève-toi », dit Max doucement.

Max. Elle le connaissait depuis la nuit où elle avait rencontré Ted. Ils s'étaient occupés l'un de l'autre au bar. Elle s'était toujours demandé à quoi pouvait ressembler un trio avec eux deux. Bien qu'elle n'en ait jamais parlé à Ted, elle soupçonnait qu'il le savait. Max allait très bien. Et toujours organisé. Elle savait qu'il avait probablement verrouillé la boutique à l'avant, basculant le panneau sur FERMÉ.

Elle se leva.

"Les mains au-dessus de la tête", a-t-il poursuivi. Elle a compris. Ted avait fait de Max le patron, pour elle.

Elle leva les mains au-dessus de sa tête.

Clay s'approcha et enleva son T-shirt, le jetant sur le côté pour révéler ses petits seins parfaits et guillerets avec leurs mamelons sombres et succulents. Elle se tenait là.

Max s'avança alors à côté d'elle et commença à les masser, ses seins, pour que tout le monde puisse les voir. Elle se retourna pour trouver Ted. Toujours aussi dur, les yeux toujours brûlants. Mmm. Max pinça durement ses mamelons, attirant son attention sur lui. Elle haleta.

"Ne le regarde pas, bella," dit-il doucement. "Regardez-moi." Il prit doucement mais fermement son menton dans sa main et la tourna pour lui faire face. Elle sentit une bouffée d'humidité alors que Max se penchait pour l'embrasser, les deux mains tenant son visage. Au même moment, Lou était derrière elle, pinçant ses mamelons entre ses doigts, fessant ses seins. Elle cria dans la bouche de Max. C'était bon. Vraiment, vraiment bien. Il continua à tenir tendrement son visage, l'embrassant profondément.

Clay commença à la dézipper à peine là, short graissé. Elle n'était pas sûre de savoir comment il allait entrer là, entre Max et elle, mais il l'était, et Lou était derrière elle, les faisant soudainement glisser vers le bas, hors de la pente sans fin de son cul. Ils tombèrent autour de ses chevilles et, embrassant toujours Max, elle sortit d'eux, les écartant négligemment avec ses solides bottes noires. Et elle se tenait là, juste dans ses bottes et son string noir. Fraîchement ciré, bien sûr. Elle pouvait entendre la respiration collective dans la pièce, tout à coup, alors qu'ils l'emmenaient.

"Sur le capot, bébé." C'était Ted, percer. Sans hésiter un instant, elle se dirigea vers la camionnette et se hissa sur le capot. "En fait, non, montez à l'arrière, dans la boîte", a-t-il révisé. Elle obéit et s'assit sur le lit de la camionnette, les jambes écartées et pendantes. Sa chatte dépassait amplement son string.

« Alignez-vous, les garçons », a-t-il dit, et les trois autres hommes se sont littéralement mis en formation, faisant la queue derrière le camion pour elle. Max était le premier. Il s'était rapidement déshabillé et ne portait que ses bottes de travail. Sa bite épaisse et magnifique s'est déchaînée pour qu'elle puisse voir… enfin. Les autres gars ont emboîté le pas, à l'exception de Ted, qui a fait la queue pour se pencher entre ses jambes et l'embrasser passionnément. Elle fondit en lui, lui rendant son baiser. Sa langue massa la base d'elle. Elle n'arrêtait pas de fondre, sentant qu'il était impossible de fondre beaucoup plus. Sentant qu'il ne doit pas être possible d'ouvrir plus large. Et puis, il a sauté dans le lit du camion pour s'asseoir derrière elle, appuyé contre la fenêtre qui s'ouvrait sur le siège avant.

"Pourquoi ne t'assieds-tu pas sur mes genoux, mon amour ?" La pensée de ce qu'il proposait l'excitait tellement qu'elle pouvait à peine le supporter. Sans un mot, elle se leva et le rejoignit à l'arrière de la plate-forme du camion pour s'asseoir sur ses genoux, sa dureté contre son dos, peau contre peau. Il était encore dans ses sauts uit, cependant, le seul qui porte encore des vêtements.

« Max, » dit-il doucement, faisant un signe de tête à son ami. Max portait une corde. Il a sauté sur la plate-forme du camion. Il était un pro pour fixer ses deux chevilles à des crochets métalliques bien situés dépassant des côtés de la caisse du camion, alors elle s'est assise en toute sécurité sur les genoux de Ted avec ses jambes bien attachées et ouvertes. Pleine exposition. Et puis il a attaché ses poignets derrière le cou de Ted, dans une étreinte éternelle, avant de revenir en tête de file.

Ted la serra contre lui, massant ses seins, qui lui étaient spécialement offerts, avec ses bras attachés et ses poignets liés derrière son cou et tout. Il embrassa le côté de son cou.

« Comment ça va, bébé ? Vous aimez ma petite surprise ? Il rit doucement en demandant.

"Oui," dit-elle, tendant le cou pour regarder le visage de Ted. "Oui, j'adore ça putain. Et je t'aime putain. Elle sourit et pouvait dire qu'il en était content. Sa main descendit pour tapoter sa chatte humide à travers son string. Il lui donna plusieurs petites claques, et sa tête retomba sur sa poitrine, en extase. Puis il a commencé à la frotter en cercles, exactement comme elle l'aimait le plus. « Tu es prêt à ce que ces gars se relaient pour toi ? » murmura-t-il vivement à son oreille.

"Oui," ronronna-t-elle. Il utilisait maintenant son poing pour appliquer doucement mais fermement une pression sur sa chatte palpitante. Il tira son string sur le côté et fit signe à Max.

Max nu dans ses bottes bondit sans hésiter pour s'agenouiller devant eux. Il a étendu une couverture et s'est allongé dessus sur le ventre, le visage juste devant sa chatte.

"Ma fille, j'attendais ce jour", a déclaré Max sournoisement. "Tu as un homme qui t'aime sérieusement, faisant quelque chose comme ça pour toi... Mmm, putain tu as une chatte magnifique..."

Il tendit la main pour saisir ses cuisses avec ses doigts, retenus car ils étaient au-dessus de la gravité. Et puis il commença par enfouir son nez, son visage dans son noyau humide, se balançant lentement d'avant en arrière et la berçant de l'intérieur. Carmen laissa échapper un faible gémissement lorsque la langue de Max glissa de son clitoris pour explorer davantage, et les mains rugueuses de Ted serrèrent fermement ses seins, et il commença à embrasser légèrement son cou. Tournant la tête pour gémir contre sa poitrine, elle ne savait pas comment cela pourrait être surmonté. Clay et Lou sont restés en ligne, nus, bottes seulement et durs comme de la pierre. Prêts à faire leur devoir.

Dans la chaleur et la sécurité de la poigne de Max, les jambes de Carmen se tendirent contre la corde qui maintenait ses chevilles en place. Max a doucement sucé son clitoris et a déplacé sa langue dans sa fente pour monter à l'intérieur d'elle, la regardant tout le temps. Elle grandissait, elle fondait, puis elle était pleine à craquer, giclant sur le visage de Max.

Max sourit, la regardant d'abord, puis vers Ted alors qu'elle dégoulinait et scintillait sur son visage.

"Bon travail, mec," dit doucement Ted. "Je pense qu'elle a aimé ça. As-tu aimé ça, bébé? Hmm?"

Tout ce qu'elle put faire fut d'acquiescer, tendant à nouveau le cou pour le regarder, et il l'embrassa pleinement et profondément.

Son string était trempé et pendait sur le côté maintenant, mais il n'y avait pas moyen de le faire glisser sans défaire sa corde de retenue. Ted fouilla dans une petite boîte à sa gauche et en sortit une paire de ciseaux rouillés. Il les glissa habilement entre le pli de sa hanche et le string mouillé et coupa. Le matériau utilisé est tombé pour exposer enfin la chatte haletante de Carmen.

"Je vais t'en acheter un nouveau", dit-il en souriant.

Max s'agenouilla et se pencha pour l'embrasser sur la bouche alors que Ted se penchait pour écarter sa chatte. L'air rafraîchit ses entrailles comme lui ; elle se sentait en feu. Elle lui rendit son baiser, goûta son jus et mordit sa lèvre, le regardant dans les yeux de façon significative comme elle le faisait. En regardant vers le bas, elle pouvait voir qu'il était toujours dur comme de la pierre. Elle pouvait aussi sentir la bite dure de Ted battre dans son dos. Comme s'il lisait dans ses pensées, Ted a furtivement soulevé son cul avec ses mains (puisqu'elle était incapable de bouger ses membres) et a glissé sa bite (la seule partie exposée de lui-même) dans sa chatte chaude et humide. cria Carmen. Et puis Max était là, sa bite devant son visage. Elle le prit dans sa bouche, sa gorge, lentement, profondément, pleinement. Elle a commencé à le caresser avec sa gorge. Saisissant son cul, Ted glissa et fit rebondir sa chatte de haut en bas sur sa hampe en même temps.

Clay en avait assez de faire la queue, alors il s'est joint, prenant place sur le ventre sur la couverture, le visage entre ses jambes. Ted a cessé de la faire glisser de haut en bas et l'a simplement assise sur sa queue sans bouger, pour que Clay puisse goûter. Tandis que Clay l'ouvrait avec les mains et sirotait avidement son jus, Ted pompait sa bite - la faisait palpiter - contre ses murs sans entrer ni sortir d'elle, continuant simplement à la remplir. La sensation était une pure extase. Max se tenait carrément devant elle et elle passa sa langue le long de sa tête et le prit dans sa gorge, profondément. Il trouva le fond de sa gorge et y resta. Donc, avec Max remplissant sa gorge - mais ne bougeant pas - et Ted remplissant sa chatte - mais ne bougeant pas - Clay lécha de larges cercles tout autour de l'intérieur de ses cuisses et de ses lèvres, venant toujours retour pour atterrir parfaitement sur son clitoris - l'embrasser fermement, le mouiller, danser autour de lui.

Elle était une multiplication d'elle-même. Elle ne s'était jamais sentie aussi bien. Avec Max remplissant toujours sa gorge, elle a pompé ses hanches vers la bouche de chasse de Clay tout en faisant de sa chatte plus une maison pour la bite de Ted dans le processus. Il a crié. Elle s'est bouclée et est venue soudainement - durement, encore - en serrant tellement qu'elle a poussé Ted hors de son trou enflé et a éclaboussé Clay un peu dans le processus aussi. Il se rassit en souriant. Sa gorge s'était également serrée autour de la bite de Max alors qu'elle s'était contractée, et il avait dû se retirer rapidement pour éviter qu'elle s'étouffe et crachote.

Humide et à bout de souffle, elle s'appuya contre son amant pour reprendre son souffle. Cependant, Clay n'était pas sur le point de lui accorder une pause. Il était déjà allongé sur le dos sous elle, soulevant son cul sur son visage et glissant sa langue à l'intérieur. Il la laissa tomber de tout son poids sur son visage et laissa sa langue rester entièrement dans son cul, la déplaçant tout autour pour la mouiller et l'ouvrir. Carmen a perdu la tête, se frottant avec son cul contre son visage et contre sa langue itinérante. En baissant les yeux, elle pouvait voir que cela le rendait encore plus dur, et elle en était très heureuse.

A ce moment-là, Lou le stagiaire, dernier de la file, avait bondi pour les rejoindre tous, et enfin prendre son tour – sa place – sur le ventre, entre ses jambes.